Le procédé « Vita-Tak »©, utilisé et mis au point par Eric MICHEL est le résultat de plus de 10 années de recherche sur les champs d’énergies subtiles. Il repose sur l’observation, la compréhension et la reproduction des mécanismes vibratoires et fréquentiels émergents. Ce procédé est exempt de toute substance active minérale, végétale ou animale et n’utilise aucune forme d’énergie connue ou codifiée à ce jour (Reïki, Orgone, Couleurs…). Aucun procédé de « programmation » mentale ou de simple onde de forme n’est utilisé afin d’éviter toute pollution intentionnelle ou non.

Nous pourrions donc qualifier ce procédé de dynamique mais passif, c’est à dire respectant la dynamique propre à chaque secteur dans lequel il est utilisé. ..

* Les énergies de « fondement »

L’observation des mécanisme micro et macro vibratoires  nous a permis d’appréhender ce que la physique quantique met en équation : « toute onde crée un corps » et la vie sans énergie ne saurait exister. Cette réalité, non enseignée dans nos écoles, ne peut plus être aujourd’hui ignorée de la masse « bien pensante » que nous constituons. Ainsi la vie sans ses phénomènes micro et macro vibratoire ne saurait être pérenne. Si l’on suit ce nouveau paradigme, il va de soi que plus on ira à la source de notre Uni-vers, plus nous manipulerons des phénomènes énergétiques fondateurs du monde matériel tel que nous pouvons le percevoir. Parmi ces énergies sources et en partant des plus denses pour aller vers les plus subtiles (donc « originelles ») nous trouvons :

- l’énergie magnétique, avec ses phénomènes de polarisation.

- l’énergie fréquentielle dégagée par tout corps physique et en particulier par la Terre.

- l’énergie d’Orgone, champ vibratoire fondamental (physique éthérique) de la planète.

- l’énergie vitale (Chi), animant tout corps biologiquement vivant (végétaux, animaux, humains) et combinant les trois facteurs précédemment cités. Ce Chi ouvre également sur la relation de l’homme à l’Univers, puisque l’homme est censé s’harmoniser avec le « Chi universel » généré par les influences astrales de notre système solaire.

- enfin, les champs d’énergie « supra subtils » dont le champ d’énergie Tachyon est le support fondamental. Ce champ initiant, nourrissant et entretenant les structures précédentes.

Tout ou partie de l’être humain utilise l’ensemble de ces mécanismes énergétiques (et bien d’autres encore), depuis la vie de la cellule jusqu’au fonctionnement de l’esprit. L’homme dans sa reconquête de sa nature subtile et fondamentale s’est rendu conscient (mais pas encore maître) de l’importance de la plupart de ces schémas d’énergies fondamentaux. L’ouverture actuelle sur les champs supra subtils n’est que la suite logique de cette reconquête. Les conditions actuelles (cf. « énergie terrestre ») demandent à l’homme d’intégrer à sa connaissance fondamentale une étape supplémentaire lui permettant de remonter un peu plus aux sources de son existence et de prendre ce recul nécessaire à l’intégration concrète de l’ensemble de ces paramètres.

* Le champ d’énergie Tachyonique (C.E.T.)

La particule Tachyon a donc été suggérée par Einstein lui-même comme une particule capable de se déplacer à une vitesse supérieure à celle de la lumière. C’est Feinberg, dans les années 60 qui lui donna son nom. Cette particule constituerait la « masse manquante » de l’Univers : en clair le vide n’existe pas et est « plein » d’une particule dont la vitesse  empêche (pour l’instant) l’observation physique. Cette particule est un magma dans lequel flotte notre système solaire, mais aussi les systèmes planétaires environnants. Ce champ particulaire soutient, entretient et initie donc de nombreux mécanismes énergétiques sous-jacents : on suppose aujourd’hui que ce champ et la masse d'énergie considérable qu’il contient est également l’événement fondateur du Big Bang… Bref au jour d’aujourd’hui, nous pouvons considérer ce CET comme le milieu fondateur et entretenant les mécanismes de vie dans notre Uni-vers.

Les caractéristiques néguentropiques de ce champ, c’est à dire la recherche permanente d’un ordre et d’une harmonie toujours plus grands, lui confère alors un intérêt fondamental dans l’entretien du mécanisme de vie, tant sur le plan biologique qu’énergétique et mécanique.

*Utilisation du CET : naissance du Vita-Tak©

La spécificité de la particule Tachyon en rend d’autant plus difficile son utilisation : car comment capter une particule de ce type alors que notre plan matière est limité à la vitesse déjà exceptionnelle de la lumière… Il est en effet impossible de nos jours de capter ces particules, car notre technologie n’a jamais été développée en ce sens. La lourdeur de nos moyens scientifiques ne fait que nous permettre de constater combien nous sommes à la traîne dans ce domaine . A défaut de pouvoir utiliser directement le CET, faut-il alors permettre au milieu considéré d’entrer en résonance avec ce champ vibratoire afin d’en retirer tout le bien fondé ou d’en retirer le maximum d’énergie. C’est ce sur quoi nous nous sommes concentré durant de nombreuses années. Notre conception de l’univers fut cependant déterminante dans nos travaux : nous avons la conviction qu’il n’y a aucune rupture dans la chaîne de la vie et donc de l’énergie qui la sous-tend : rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme…

Ainsi, partons du principe fondateur qu’est la particule tachyon (puisque celle que nous connaissons comme étant « ultime ») : cette particule sous certaines contraintes perd une partie de sa vitesse (et de son énergie…) pour voir sa structure se modifier et se « densifier » en neutrinos, ce dernier perd à nouveau de l’énergie et voit encore sa structure atteindre celle du photon. Ce même photon quant à lui va suivre le même processus et permettre la manifestation du bradyon, particule fondamentale lourde et d’une énergie relativement faible, composant  le monde matériel. Dans cette dynamique de perception, plus une particule fondamentale perd de l’énergie, plus elle se densifie. Au final, lorsque le processus de densification atteint son apogée on obtient l’état de mort physique qui voit par ailleurs un retour de l’énergie primaire de l’individu dans son état vibratoire d’origine.

Ainsi, en travaillant sur la structure énergétique la plus en amont possible, permettons-nous à tout organisme densifié (biologique ou non) de résonner à nouveau à l’unisson avec sa constitution globale.

A noter qu’à chaque étape de transformation de la particule tachyon en particule plus dense, l’énergie libérée n’est pas perdue mais vient nourrir et entretenir l’ensemble des structures composant notre Uni-vers ; fait important également, plus la densification est importante, plus « lourde » est l’énergie contenue par la particule et donc plus observable est-elle (cela est flagrant avec le photon et le bradyon). Inversement, plus la particule porteuse a une vibration élevée (ou vitesse, comme pour le neutrinos et le tachyon) moins son énergie est palpable, car plus elle est stable moins elle en perd, et donc moins elle est observable. Ce sont surtout ces énergies libérées qui sont utiles pour nous et c’est sur la toute première transformation que nous avons travaillé.

- du Librion© : comme nous vous le disions en préambule, il est impossible de capter la particule tachyon et de l’isoler, à l’heure actuelle de nos connaissances scientifiques. Cependant il est possible de travailler sur les potentiels énergétiques libérés lors de la transformation de cette particule fondamentale. La difficulté première est de mettre en place un milieu favorable à l’expansion de cette énergie. La particule tachyon s’expanse spontanément dans les milieux « vides », car le vide ne peut exister. Notre premier travail consista en cela, nous y sommes parvenu. Puis de l’observation des phénomènes vibratoires libérés lors de l’expansion du CET, nous avons tiré plusieurs leçons. Tout d’abord le CET est profondément instable, c’est à dire qu’il passe par une succession très rapide d’expansion/rétraction. Comme expliqué plus haut , l’énergie contenue par cette particule a vocation à entretenir et initier les mécanisme plus denses qui s’en nourrissent. Donc à peine expansée, cette particule se transforme en une particule dite « neutre » et qui va elle-même prendre la forme de la particule le plus utile à l’instant T dans le milieu donné X. Nous avons nommé cette particule le LIBRION© (la fameuse énergie libre). C’est une particule transitoire possédant un caractère hautement énergétique et qui va ensuite se transformer en photon ou bradyon selon la nécessité du milieu dans lequel elle s’expanse. C’est sur cette particule que nous pouvons travailler et que nous pouvons capter. Pendant longtemps nous avons assimilé cette particule à des « supra fréquences » dégagées par le CET lors de sa transformation.

Les caractéristiques de cette particule sont toutes proches de celle du tachyon, mais son énergie est utilisable et palpable pour tout organisme sous-jacent. Le procédé Vita-Tak© permet de capter cette particule elle-même très instable, de la condenser dans un milieu propice sans qu’elle ne soit « utilisée » par ce même milieu. Puis grâce à un travail de condensation, nous soumettons nos supports à cette énergie. Ces mêmes supports deviennent porteurs des caractéristiques propres à ce champ et permettent de mettre en résonance toute particule avec sa structure optimale telle qu’elle est  initialement conçue. Le principe néguentropique du CET est pleinement récupéré, ainsi que son potentiel énergétique pur.